ProTeam Harry Sweeny signe chez Lotto Soudal, Harm Vanhoucke prolonge
Deux jeunes coureurs, l’Australien Harry Sweeny (22 ans) et le Belge Harm Vanhoucke (23 ans) ont trouvé un accord avec la formation WorldTour Lotto Soudal jusqu’à fin 2022. Sweeny évolue actuellement chez Lotto Soudal Development Team, tandis que Vanhoucke avait déjà rejoint l’équipe élite en juillet 2018.
Harry Sweeny, originaire de Warwick (Queensland, Australie), vit à Meerhout (Belgique) pendant la saison. Après avoir remporté une étape du Rhône-Alpes Isère Tour, il a rejoint l'équipe U23 de Lotto Soudal en 2020, où il s’est montré très versatile.
« Je suis un coureur plutôt orienté vers les classiques, utile dans un lead-out, mais je me débrouille également dans les côtes. Au dernier Tour Bitwa Warszawska et au Baby Giro, l'équipe était visiblement plus que satisfaite de mes performances et de mon engagement. Je suis très excité à l’idée de rejoindre le WorldTour, où je retrouverai mon compatriote Caleb Ewan. On se connait relativement bien, il pourra compter sur moi », explique Harry Sweeny.
Harm Vanhoucke est passé professionnel avec déjà quelques beaux succès à son palmarès : le Piccolo Giro di Lombardia, la Flèche Ardennaise et des victoires d’étapes au Tour de Savoie Mont Blanc et au Giro della Valle d’Aosta Mont Blanc. Harm est un pur grimpeur.
« Ma première saison ne s’est pas passée comme prévu, j’ai souffert d’anémie. L’équipe m’a laissé le temps de récupérer et avec l’aide de mon entraîneur Paul Van Den Bosch, je n’ai rien lâché », explique Harm Vanhoucke.
Il y a deux semaines, Vanhoucke a remporté le classement de la montagne au Tour du Poitou-Charentes. Plus tôt cette saison, il a également pris la 12ème place du Tour de l’Ain et la 10ème place de la Vuelta a Andalusia Ruta del Sol.
« Je me sens bien chez Lotto Soudal, l’ambiance y est familiale. Je serai au départ du Tour du Luxembourg cette semaine, avant de participer aux championnats de Belgique. Ensuite, je prendrai part à mon tout premier Tour d’Italie. Je me réjouis vraiment d’être au Giro », conclut Harm Vanhoucke.